CréaFest 2023
Catégorie « Poème »
Sélection Officielle sur le sujet « Le Cri de la Forêt - qui sauve la forêt, sauve le vivant »
Oeuvre collective (Turquie)
Par les élèves de 4e du Lycée Français Pierre Loti à Istanbul :
Tuna ALTILAR et Dara Derin MIRALEM
« En écrivant ce poème, nous avons souhaité imaginer ce que la forêt a envie de crier. Ses plaintes contre les actions des hommes, ce que les arbres ressentent… C’est un cri adressé aux hommes pour qu’ils changent immédiatement d’attitude, car les dégâts sont déjà très graves ! Par ces trois quatrains où la parole est donnée à la forêt, nous espérons émouvoir nos lecteurs et relayer un message d’urgence. »
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Oeuvre collective (Viet Nam)
par les élèves du Lycée Français International Marguerite Duras à Ho Chi Minh Ville :
Ekaterina BUZMAKOVA, Manoë BOTHNER et Chloé BUI.
« Nous avons écrit un poème sur la déforestation par l’homme pour sensibiliser et alerter sur les conséquences négatives de l’activité humaine sur l’environnement.
La déforestation est dévastatrice pour les écosystèmes, détruisant des habitats essentiels pour de nombreuses espèces animales et dégradant notre environnement.
Le poème est donc un moyen de communiquer l’intensité émotionnelle et l’impact de la déforestation, en exprimant les sentiments de perte, de tristesse et d’alarme que l’on ressent face à l’état actuel de notre planète.
Les poèmes peuvent également être utilisés pour encourager les gens à changer leur comportement et à agir pour protéger l’environnement. Ils peuvent inspirer des actions individuelles, comme utiliser des produits recyclés ou choisir un mode de vie plus respectueux de l’environnement. Les poèmes peuvent également encourager le changement social, en appelant à des mesures gouvernementales pour protéger les forêts ou en soutenant des organisations environnementales qui travaillent pour préserver les écosystèmes naturels.
En somme, le poème sur la déforestation est un moyen de créer une prise de conscience de l’impact environnemental de nos actions et d’inspirer un changement positif pour protéger notre planète. »
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de Mia Su ERGUT (Turquie)
« Ce poème évoque la forêt en danger. La technologie évolue de plus en plus pour nous faciliter la vie au maximum ; mais on ne remarque pas à quel point on détruit notre environnement en voulant vivre plus confortablement. Il faut passer à l’action tant qu’on le peut, et sauver la nature. C’est le message porté par ce poème, qui personnifie la forêt en train de brûler et d’appeler « À l’aide! ». »
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de Natalia OKROMELIDZE (Géorgie)
« C’est un poème sur un thème assez sensible, sur la relation d’un petit garçon et sa mère, aussi sur leur relation avec la nature. »
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de Lita LESTIANTI (Indonésie)
« Ce poème est un rappel sur les destructions naturelles qui ont des effets sur nos vies. »
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de Nushrat Bibi SK HOSSEIN (Maurice)
« Ce poème intitulé « La Cure » est un sonnet écrit en alexandrins. Les quatorze vers illustrent la nature telle une observatrice immortelle. En tant que détenteur de l’âme intellective, l’être humain a le choix d’être le bourreau ou le défenseur de l’environnement naturel. L’adulte sombre souvent dans le matérialisme tandis que le regard de l’enfant perçoit l’essentiel de la vie. Peu importe l’âge, il est important de contempler la nature, de l’écouter et d’entrer en osmose avec elle. L’humain doit mobiliser les connaissances acquises au fil des générations pour mieux préserver la biodiversité et l’équilibre écologique de l’univers. »
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Oeuvre collective (Turquie)
Par les élèves de 4e du Lycée Français Pierre Loti à Istanbul :
Cem ATALA-ERCETIN et Oguz Enes AYDOGDU
« Nous avons écrit trois haïkus. Dans cette composition on a voulu faire entendre à tous ce qu’exprime la forêt : des cris, pour l’alerte et l’appel à l’aide, des mots, pour le mal qu’on veut lui faire, des bruits enfin, ceux de sa destruction. L’illustration montre deux arbres, qui sont isolés : ce sont les deux seuls arbres qui restent d’une forêt tout entière… »
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de Alshaad KARA (Maurice)
« En prenant compte de l’intensité de la biodiversité autour, j’ai essayé d’incorporer la valeur perdue de la nature à travers les mots et les paroles. »
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Oeuvre collective (Turquie)
Par les élèves de 4e du Lycée Français Pierre Loti à Istanbul :
Zineb ERRAMI, Milena Elisa FEUILLAT, Loanne TREU et Cheyenne VEZIA.
« Écrire un poème sur la forêt, c’est rendre hommage à ce havre de paix qui nous rappelle l’importance de préserver la beauté fragile de notre monde naturel. C’est une manière d’exprimer notre amour pour cet écosystème et d’inciter les autres à le chérir, afin que les générations futures puissent, elles aussi, trouver réconfort et inspiration dans la magie de la forêt. »
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Oeuvre collective (Turquie)
Par les élèves de 4e du Lycée Français Pierre Loti à Istanbul :
Balkan TUNCER et Etem KILIC.
« Nous avons écrit ce poème pour sensibiliser nos lecteurs. Nous pensons qu’il est possible d’émouvoir les gens par l’écriture. C’est ce qu’exprime notre poème. Enfin nous avons voulu sensibiliser à la beauté de la forêt : ses couleurs, ses oiseaux, sa biodiversité. »
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Oeuvre collective (Indonésie)
par les élèves :
Lorna ULM et Léa PORTA.
« Notre oeuvre est un poème ayant pour thème la nature avec ses végétations et ses animaux. Le titre est « Les cris de la forêt ». En écrivant cette oeuvre, notre but était de sensibiliser la population en parlant de ce qui nous semble important en ce moment, autrement dit, la déforestation et ses conséquences sur notre vie et notre planète. »
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