L'Enfant et l'oiseau
Oeuvre collective (Sénégal)
Ndeye khady SALL, Idy MARA, Saliou DIENG, Modou SECK, Aliou FEDIOR
L'Enfant et l'oiseau
Oeuvre collective de ACREA (France)
Lucie D’ARGY, Claire VALENTIN, Léonard CLAUSS, Baptiste CLAUSS, Michel CLAUSS.
Théo et l'oiseau magique
de Do Gyeong HUR (Corée du Sud)
L'Enfant et l'oiseau
Oeuvre collective (Corée du Sud)
Alona JEANNEAU, Violetta HIRM-MARTIN
L'Enfant et l'oiseau
de Anna KAELBEL (Corée du Sud)
Un garçon soufflant des oiseaux
de Thaïs FHAL (Corée du Sud)
Le sens du bonheur
de Jae-In LEE (Corée du Sud)
Loup Art
de Jérôme POSSOZ (France)
L'Enfant et l'oiseau
de Yeline JUNG (Corée du Sud)
Va, vole et souris de douleur
de Jaehyun SEO (Corée du Sud)
L’auteur de la vidéo exprime sa critique à l’égard de la violence de l’humanité et de la société. Toutes les fois où l’on rêve de beau, le rêve est détruit. Pour lui, la réalité est cruelle et la positivité n’est pas toujours la réponse. Par son travail, Jaehyun Seo souhaite représenter une société de la violence : le petit prince qui est pur, se colore de la peur la plus sombre qui le pousse vers des choix tragique. Et lorsque l’enfant se libère et devient l’oiseau, l’auteur le représente libre, pur, beau, mais avec le couteau le plus tranchant.
L'Enfant et l'oiseau
de Antoine DUCASSE (Corée du Sud)
L'Enfant et l'oiseau
de Jeehoon Jamie RYU (Corée du Sud)
L'Enfant et l'oiseau
Oeuvre collective (Corée du Sud)
Estrella KOUE, Emilie KEUFER
L'Oiseau et l'enfant
de Yumin PARK (Corée du Sud)
L'Enfant et l'oiseau
Oeuvre collective (Argentine)
Ileana Andrea GOMEZ GAVINOSER, Andrés DA GRAVA, Kelly GAVINOSER, Pablo PEDREIRA
L'Enfant et l'oiseau
de Jio YOON (Corée du Sud)
L'Enfant et l'oiseau
de Melania RYU (Corée du Sud)
Duccio s'envole
de Duccio D'ANGELO (Italie)
Le Petit Prince en Corée du Sud
de Michelle PARK (Corée du Sud)
L'Enfant et l'oiseau
de Juliet CLEMENÇON (Corée du Sud)
L'Enfant et l'oiseau
de Lahee VERJAT (Corée du Sud)
Loire
de Jérôme POSSOZ (France)
Vidéoclip filmé à Chalonnes-sur-Loire, principalement sur une barque qui séjourne sur le fleuve Loire.
On peut de manière assez évidente y trouver notamment de la symbolique en lien à la mythologie du fleuve Styx.
La narration s’ancre sur les rives du fleuve, et autour des barques individuelles.L’histoire trouve une sorte de point d’orgue juste après la monstration du rameau de gui, lors du passage de l’oiseau de fer. L’avion disparaissant dans les nuages peut se voir en référence au livre de Farid-ud-Din’ Attar : « Le langage des oiseaux.
Comme un clin d’œil, la musique est à ce moment une référence au chant de Noël « Douce nuit, sainte nuit ».
Le phonogramme utilisé pour ce vidéoclip, et joué à la guitare classique, se trouve dans l’album « Backlife ».