CréaFest 2023
Catégorie « Dessin »
Sélection Officielle sur le sujet « Le Cri de la Forêt - qui sauve la forêt, sauve le vivant »
Le Cri de la Forêt
de Jean Laval Didier SAYPERMAL (Maurice)
« L’oeuvre démontre la rencontre d’un petit garçon sur le dos d’un cerf qui part à la rencontre du vieil arbre au milieu de la forêt. Ainsi l’arbre raconta le début des tragédies. »
Caractéristiques techniques : L’oeuvre est produite sur une feuille de papier de dimension A1, à l’aide d’un stylo à bille de couleur noir.
L'Arbre de l'espoir
de Thierry GORDIEN (France)
« Sur une photo de ciel, dessin d’un arbre sur lequel poussent des bébés. Ces bébés et enfants tout juste nés représentent la nouvelle génération qui transmettra avec passion le précieux patrimoine des forêts qui portent la mémoire de la Terre. »
Caractéristiques techniques : Photo en fond + dessin au feutre + application photo-montage : paint.net
Linissi défendent la forêt
de Dunja JANKOVIĆ (Serbie)
« La forêt, le lieu de vie de nombreux êtres vivants, est en danger.
Ayant appris que leur maison est menacée, les petits gardiens de la forêt, Linissi, ont commencé à paraître sur les portails pour sauver leur chez-soi.
Linissi sont connus pour leur cri ayant un effet effrayant sur les hommes. Une fois les hommes l’entendent, ils ont l’impression que quelque chose de très dangereux avance vers eux.
La forêt pleine d’amour, de pouvoir et de bonheur est de nouveau protégée. »
Le Cri de la Forêt
Oeuvre collective (Italie)
par les élèves de maternelle à l’école Alexandre Dumas à Naples :
Giulio BOCCALE RODINO’ DI MIGLIONE, Flaminia CESARE, Ludovica CESARE, Maria COPPOLA, Carlo D’APUZZO, Joseph FAIELLA, Daphne KYPRIANOU, Lorenzo LALOÉ, Daniele MASELLI, Elvira MAZZEO, Antonia MORRA, Ambra SALTELLI, Federico VELLA, Anna VENERUSO, Azzurra VENERUSO, Marinella VISCO, et Isabelle REY (enseignante), Stefania BERLINGIERI (ASEM)
Dessin illustrant le conte réalisé par les élèves
Le Cri de la Forêt
Oeuvre collective (Italie)
par les élèves de maternelle à l’école Alexandre Dumas à Naples :
Giulio BOCCALE RODINO’ DI MIGLIONE, Flaminia CESARE, Ludovica CESARE, Maria COPPOLA, Carlo D’APUZZO, Joseph FAIELLA, Daphne KYPRIANOU, Lorenzo LALOÉ, Daniele MASELLI, Elvira MAZZEO, Antonia MORRA, Ambra SALTELLI, Federico VELLA, Anna VENERUSO, Azzurra VENERUSO, Marinella VISCO, et Isabelle REY (enseignante), Stefania BERLINGIERI (ASEM)
Dessin illustrant le conte réalisé par les élèves
Le Cri de la Forêt
Oeuvre collective (Italie)
par les élèves de maternelle à l’école Alexandre Dumas à Naples :
Giulio BOCCALE RODINO’ DI MIGLIONE, Flaminia CESARE, Ludovica CESARE, Maria COPPOLA, Carlo D’APUZZO, Joseph FAIELLA, Daphne KYPRIANOU, Lorenzo LALOÉ, Daniele MASELLI, Elvira MAZZEO, Antonia MORRA, Ambra SALTELLI, Federico VELLA, Anna VENERUSO, Azzurra VENERUSO, Marinella VISCO, et Isabelle REY (enseignante), Stefania BERLINGIERI (ASEM)
Dessin illustrant le conte réalisé par les élèves
Mauvaise impression
de Chloé MINGUET (Indonésie)
« Mon oeuvre montre un arbre avec des animaux autour. Cet arbre se fait déchiqueté par une machine qui, de l’autre cote, imprime des feuilles. Ces feuilles ont des slogans tels que: « Sauvez la planete » et la fille debout a un t-shirt avec « Il n’y a pas de planete B ». C’est pour montrer que malgré tous les slogans, posters, affiches de papiers, qui nous encourage a sauver la planète, on pollue même pour faire passer ce message. »
Caractéristiques techniques :
Harmonie et destruction
Oeuvre collective (Viet Nam)
par les élèves :
Paul ANTOINE et Nhat Quang Alexandre NGUYEN-LAM
« Tout d’abord, nous avons choisi un modèle de dessin qui semble être un reflet contraire l’un de l’autre, divisé en deux par une ligne noire très visible.
“QUI SAUVE LA FORÊT” représente un paysage harmonieux de la nature, plein de vie. On peut voir dans cette représentation, un cerf (personnage dans l’histoire) qui galope près d’un lac magnifique (qui sert de transition à l’autre dimension) dans un milieu forestier. A l’arrière-plan, on peut voir une forêt contenant plusieurs types d’arbres (comme des pommiers). Dans le ciel, des oiseaux volent au loin et le vent souffle sur la forêt.
“SAUVE LE VIVANT” est le contraire total de l’autre plan. Cela représente la déforestation et la destruction intensive des arbres. De plus, le lac est tout sec et il reste seulement une flaque d’eau. L’herbe est jaune, ce qui nous indique que la terre est déshydratée. La forêt est entièrement ruinée et consumée par le feu. Le ciel est recouvert par la fumée provenant des flammes. On peut aussi voir un bulldozer ce qui nous ramène à la conclusion de l’intervention humaine, qui est la cause de ces désastres. »
Aux racines de l'espoir
Oeuvre collective (Turquie)
par les élèves de 4e du lycée Pierre Loti à Istanbul :
Axel CUREAU, Esteban KARABÜBER-ALMANSA, Daniel Mazliah CIPRUT, Kaplan Can ANTER.
« Nous avons dessiné un paysage qui représente, au premier plan, des souches d’arbres morts ainsi qu’un petit arbuste qui pousse : c’est lui, dans toute sa force et sa résistance, qui est évoqué dans le haïku. Ainsi nous avons voulu répondre avec espoir aux cris d’alarme de la forêt. Nous espérons ainsi encourager les gestes éco-citoyens en faveur des arbres, notamment les actions de reboisement. Nous sommes optimistes : en effet même si beaucoup de forêts semblent mourantes, peu à peu elles commencent à reprendre vie par nos efforts collectifs. »
Caractéristiques techniques : Dessin au crayon commenté par un haïku.
La Forêt, source de vie
de Asma DAHBAR (Liban)
« J’ai illustré la fin de l’histoire, la décision de l’enfant. Que décidera-t-il ? Comment va-t-il transmettre tout ce qu’il a appris au sujet de la nature à l’humain ? A mon avis, Il va sauver la forêt. Il est prêt pour accomplir sa nouvelle mission qui est celle de convaincre l’humain d’arrêter de nuire à la nature, et communiquer le message de la forêt qui est prête à faire alliance avec l’humain. »
Caractéristiques techniques : Feutre sur carton, 29 x 42cm
Poétique du Rhizome
de Camille ROZOY (France)
« Malgré toutes ses blessures et son cœur brisé par l’usure des ans, il restait symbole de puissance. Essence de lumière, son feuillage offrait toujours une ambiance fantastique. Le vieux sessile répondit par le gémissement de ses racines fatiguées :
-j’ai vu tellement de printemps et d’automnes …
Alors l’enfant prit le vieil arbre dans ses bras et l’embrassa.
Le cerf leva de nouveau son regard sur le vieux sessile qui s’était légèrement penché sur l’enfant.
Le vieux chêne lui dit alors :
– déjà , au profond, dans le vivant du sol, tu es relié, et les racines et les rhizomes, le mycélium et les champignons dansent avec toi, te sont reliés, tu n’as plus qu’à avancer ! Dès à présent , tu seras le messager de deux mondes qui n’auraient pas dû se séparer ni rivaliser.
Regarde là haut, cet arbre droit, il n’aura pas fallu attendre que son bois soit abattu pour devenir berceau, des petits d’homme y naissent déjà, et d’autres y naitront dans les nids de sa charpente massive.
Et cet autre qui se rêvait navire pour voyager sur tous les océans, il est déjà ce point de rencontre entre ciel et terre, entre terre et mer.
Petit, avant que d’apprendre à parler le langage des tiens, tu as conscience que tu deviens végétal, racines à tes pieds, lierre à tes cheveux, tu seras notre messager, notre pont vers l’avenir. »
Une Forêt en péril
de Sofia FAWAZ (Liban)
« Le dessin représente un écosystème en péril. On trouve un écureuil et un cerf qui semblent inquiets et qui se tiennent près d’un arbre qui également est préoccupé. Au loin, on peut voir une ville dont les fumées s’échappent des cheminées, témoignant d’une pollution certaine où les animaux, les arbres et la ville coexistent dans un environnement qui ne prend pas en compte leur bien-être commun. Le dessin met ainsi en évidence les mauvaises conséquences de la pollution sur la nature et les êtres vivants qui y habitent. »
Caractéristiques techniques : crayons de couleurs sur carton, 21 x 29,7 cm
Les Gardiens verts
Oeuvre collective (Serbie)
par les élèves :
Olivera GEMALJEVIĆ, Teodora ALEKSANDROVSKI, Anđela BRKOVIĆ, Katarina BUKVIĆ, Nada BURSAĆ, Jana VELIČKOVIĆ, Magdalena VUKANIĆ, Helena DOLAŠEVIĆ, Katarina JOVANOVIĆ, Jovana JOVIČIĆ, Lena KOSTIĆ, Marija KUZMAN, Biljana LAPADATOVIĆ, Jovana MARINKOVIĆ, Iva MACANOVIĆ, Tea MILETIĆ, Anastasija MILOJKOVIĆ, Marija MIHAILOVIĆ, Iva NIKOLIĆ, Janja PAVLOVIĆ, Katarina PETROVIĆ, Anja RADOVIĆ, Una STANKOV, Aleksandra STOJANOVIĆ, Emilija STOJANOVIĆ, Marija TODOROVIĆ, Sara TOPALOVIĆ, Milica ĆORKOVIĆ, Vanja ŠĆEPANOVIĆ, et Jelena JOVANOVIĆ (enseignante)
« Augmentons la conscience maintenant ! »
Au jardin des Moulins
de Timothéo HADDAD (Liban)
« Un milieu en plein montagne, un jardin public entouré de pinèdes, environnement sein accessible à tout le monde petits et grands si vaste pour faire du vélo avec un fleuve où un moulin garde sa silhouette depuis les aïeux des habitants de cette région. »
Caractéristiques techniques : peinture aquarelle
La première pandémie de XXI siècle
de Mihaela Ileana IONESCU (Roumanie)
« Les trois dernières années ont changé nos vies et pourtant la plupart d’entre nous ont besoin de réponses. Mais la nature trouve les moyens de guérir. Nous aussi, nous pouvons espérer que nous avons les ressources nécessaires pour guérir toutes les blessures. »
Dans les yeux de la forêt
Oeuvre collective (Turquie)
par les élèves de 4e du lycée Pierre Loti à Istanbul :
Nural Yeliz ISIN et Duru DOGANER.
« Nous avons voulu travailler sur le thème « Le cri de la forêt » pour sensibiliser les gens au problème de la déforestation. Notre composition représente l’impact du comportement des humains sur la nature, et particulièrement sur les arbres. Le « cri de la forêt » y est exprimé par les feuilles des arbres, transformées en une multitude d’yeux. Selon les comportements des hommes, bienveillants (à gauche de l’arbre) ou agressifs (à droite de l’arbre), les arbres réagissent différemment : ils pleurent ou sont brisés, ou bien ils sont heureux. Pour conclure, dans ce dessin nous avons souhaité donner vie à la forêt. »
La Petite fille et le renard
Oeuvre collective (Maurice)
par les élèves :
Mahima DHURRY, Purvee DOBEE, Durgeshwaree BALAJEE, Bibi Hafsa Humairaa SULLIMAN, Noémie REINE DE CARTHAGE, Vaibhavi GOORAPPA, et Raksha KHADOO (enseignant)
« La petite fille et le renard s’accroche à un arbre pour le sauver de l’abattage. Ce geste est extrapolé en l’image d’une fille qui vit dans l’ambiance actuelle qui est polluée mais elle arrive à le surpasser grace aux gestes pour sauver la La Mère Nature qui rayonne de beauté et valeur. »
Les Pinèdes de Deir El Qalaa
de Jennifer KHOUEIRY (Liban)
« Un milieu serein au sein du Metn du Nord à Beit Mery juste une forêt à 500m d’altitude, une fenêtre montrant Beyrouth de l’aéroport en passant par sa baie arrivant à Dbayé. Un lieu où tu peux visiter un site touristique romain, où une église du monastère Saint Jean Baptiste. construite initialement en 1750 sur les ruines d’un ancien temple romain. Il est nommé « le sanctuaire de la cité ». »
La Peur de la forêt
de Jinhong PARK (Corée du Sud)
« Cette oeuvre décrit la scène de la foret, où toutes les créatures de la forêt tremblent après avoir entendu les nouvelles que la foret d’à côté sera brulée. On peut voir la crainte de la forêt par les feuilles qui tremblent et tombent.
Caractéristiques techniques :
Debout - Hier, aujourd'hui, demain
Oeuvre collective (Viet Nam)
par les élèves : Ema QUEMENEUR et Maéva ROUBY
« Nous avons fait ce dessin inspiré par le texte de CréaFest pour montrer la beauté et la force de la nature.
En effet, le dessin est une représentation de l’influence de la nature sur la présence humaine. L’arbre est une “partie” de la nature utilisé pour représenter le tout. L’arbre représenté est un vieil arbre de plusieurs centaines d’années, nous avons dessiné un incendie autour de l’arbre pour pointer du doigt ce que la nature a traversé à cause de nos activités. L’impact sur l’environnement n’est pas négligeable, mais la nature gagne toujours. L’arbre a une aura qui montre sa force et son courage face à tous les chemins qu’il a parcourus, mais il reste debout, fier et prêt à protéger le monde. Nous avons ajouté la Terre dans le feuillage de l’arbre car la nature est à la fois cet arbre et à la fois la Terre. Elle n’est pas seulement un arbre, elle est aussi notre planète, notre seule et unique maison. Nous avons aussi ajouté un daim car, encore une fois, la flore ne vient pas sans la faune, et la nature ne serait rien sans les animaux. »
Savage flame
de Mandresy RAMANAMPAMONJY (Madagascar)
« Ce dessin représente un monde divisé en deux. D’un côté, au premier plan, un monde vert et vivant, rempli de faune et de flore qui colore le paysage. Un jeune enfant, sur le dos d’un cerf, admire au loin un paysage détruit et dévasté par l’activité humaine, les feux de forêt et la déforestation.
Cette oeuvre traduit le paradoxe de ce monde, d’une part la forêt est brûlée et souffre tandis qu’à côté le monde va bien et personne ne réagit à la scène. »
Sur le pont de Damour
de Stephan MAROUN SAADE (Liban)
« C’est un pont qui relie Beyrouth au Mont Liban en arrivant à Deir El Qamar où le fleuve de Damour ce village ville vu que ses paysages tend vers la mer et reconnue par l’agriculture des agruments et des bananiers dont tout le pays s’y nourrit. »