CréaFest 2023
Catégorie « Sculpture »
Sélection Officielle sur le sujet « Le Cri de la Forêt - qui sauve la forêt, sauve le vivant »
Le Cri de la Forêt
de Laura TREINS (Indonésie)
« On voit un arbre noir et blanc, et un apercu des racines sortant de la terre noire. Les racines sortantes représentent les veines des humains lorsqu’ils sont en rage. L’arbre mourant est personnifié en tant qu’humain qui avant sa mort, cri de toutes ses forces. Enfin, la terre noire représente la mort. »
Caractéristiques techniques : C’est fait au papier mâché et pâte à modeler. Des fils de fer sont utilisés pour solidifier et maintenir la structure.
Le Cri de la Forêt
Oeuvre collective (France)
par les élèves de 6e du collège Robert Doisneau de Clichy-sous-Bois :
Myriam ABDELLAH, Jeremy ACAR, Ryan ACAR, Jassem ACHAACHE, Jugourta AIT HAMOU, Hanan AIT ICHOU, Amir AJDIRI, Vanessa ALCIDAS, Richnader ALEXIS, Adam AMAROUCHE, Kenza AOUDJA, Rayhana BAHI, Bakary BAKAYOKO, Masale BARADJI, Nihal BEGE, Imène BELBACHIR, Malak BENACHIR, Myriam BOUABDELLAOUI, Yousra BOUAOUDIA, Redwane BOUAZZA, Myriam CAMARA, Aminata CAMARA, Kadidja Stacy CAMARA, Catherine CHARLES, Marvens CHARLES, Alaa CHETOUANI, Aminata COULIBALY, Malim COULIBALY, Mariam DABO, Mohamed DAOUDI, Sirine DEBBAB, Moussa DIABY, Siga DIANKA, Gaye DIANKA, Hamza DINE, Yamin DJAOUAT, Havva DOGAN, Dama DOUCOURE, Nassim DOUZ, Abdallah DRAME, Assya EL ALLAOUI, Toulay EL HARAKE, Ezzeldin EL HELU, Houdayfa EL MADKOUN, Sofiane GOUJA, Mohamed HALOU, Ryan HAMICI, Sofiane HAMMI, Ikram ID BELAID IMOULA, Nifayi JAORAVO, Nolan JERCO, Oumou-Dily KACZMAREK, Abdallah KAMAGATE, Lassana KAMISSOKO, Bintou KANOUTE, Julia KARA, Muhamet KARABULUT, Asya KARAKAS, Samir KEDIA, Cekine KONATE, Mamadou KONATE, Ibrahima KONE, Anais KOTBI, Sofiane LAIHI, Nouha LAMIMI, Modi LY, Kelvin MAKIESE, Mohammed Taha MALEK, Muhammad MANZOOR, Farida MEDDAS, Ismail MEHADJI, Mariama MEITE, Cerine MEKHANE, Laila MOINDJIE, Yssa NIAKATE, Fatoumata NIAKATE, Hugo OLIVIER, Caroline PHAN, Jihanne POGNON, Achraf RABHAOUI, Idriss REBAA, Anas REDOUANI, Zahir SAINDOU RAMADANI, Kemberline SAINTE ROSE, Tanveer SALMAN, Khayr Eddine SGHAIER, Mahamadou SISSOKO, Jihane TAHAR, Françoise TIAMAH KESSEY, Aminata TOUNKARA, Elisa TOUNKARA MONTEIRO FORTES, Chekne TOURE, Farah TOUZRI, Fatoumara TRAORE, Mamadou TRAORE, Diem TSHIMANGA KABEY, Kamilia UTKUN, Melis YALCIN, Hawa YATTASSAYE, Elif YAYILKAN, Lamia YOUSFI, Fayssal ZELLOUFI, Mohamed Ali ZERROUKI, Charifa ZERROUKI, et Amélie DESVIGNES (enseignante).
« Les élèves ont été initiés à la sculpture , ils ont réalisé en modelage plusieurs arbres qui crient, certains tirent la langue, ils n’ont plus de feuilles, comme s’ils avaient brûlé, ils sont tous blancs et semblent indiquer l’urgence de la situation liée au réchauffement climatique. »
Respire !
de Annelaure LABALETTE (France)
« Le coeur représente celui de l’homme et symbolise aussi celui de la forêt. Chacun a besoin de l’autre pour vivre et prendre soin de lui. »
Caractéristiques techniques : Coeur sculpté en argile rouge implanté de branches, de feuillages et de mousse ramassés en forêt.
Un S.O.S important à écouter
de Lorianne Ashley Yvonne MARSON (Madagascar)
« Pour représenter le cri de la forêt, j’ai choisi de faire une petite représentation en mini maquette où l’on peut apercevoir les personnages, tel que le cerf, l’écureuil, les deux arbres, les oiseaux, quelques papillons ainsi que le petit garçon.
J’ai décidé d’interpréter “ le cri”avec un tronc d’arbre possédant une bouche ouverte et comme la déforestation est un des plus grands dangers de la forêt, je l’ai représenté dans la bouche que l’on pourrait comprendre comme un appel en “DÉTRESSE” aux humains.
Sur le haut, on peut avoir comme une ambiance, bien naturelle, bien paisible car c’est la partie intacte de la forêt, une forêt encore bien verte.
Le petit garçon est placé en premier plan pour bien voir son expression, sa désolation de l’acte humain.
Enfin, on peut interpréter que la place de la déforestation à l’intérieur et en dessous de la belle forêt, nous indique que si on agit pas, le feu étant en bas peut brûler ceux d’en haut.
Les pierres autour du trou représentent les dents du cri, et la forêt brûlée. On peut passer un message autrement que les paroles. »
Caractéristiques techniques :
Arbre de vie
Oeuvre collective (Mexique)
Par 17 élèves de maternelle
Lía Victoria AGUILAR NOVELO, Alan Julián ARAGON MOLINA, Daniel AZCONA SANTAMARIA, Regina BONILLA ZANETTA, Ana Paula BONILLA ZANETTA, Sofía BONILLA ZANETTA, Lucía GAMBOA AGUIRRE, Valeria HOTH MAGAÑA, Renata Sofía HU BALDERAS, Cristián André LAGUNA QUIROZ, Matías LARA, Nicolás LAURENTS MENDEZ, Renata Victoria MAGAÑA ESPINOZA, Braulio ORELLANA ROBERT, André ROBLES RAMOS, Ilán Moishe ROSENTHAL MORA, José María VELAZQUEZ GARCIA, et María del Rosario FERNÁNDEZ UNZUETA, Nancy AYALA AGUILERA, Marisol PORRAS MARTELLO (enseignantes).
« Le titre du festival : « Le Cri de la Forêt ; qui sauve la forêt, sauve le vivant », nous attire comme les abeilles vers le miel. C’est une belle occasion d’éveiller et de cultiver chez les filles et les garçons de notre communauté l’amour de la vie dans sa diversité, un amour qui nous amène à construire des modes de vie basés sur le respect et l’harmonie avec notre environnement.
L’arrivée de milliers de papillons monarques qui voyagent du Canada vers les forêts vers les forêts de l’État de Mexico et du Michoacán chaque automne, a été le point de départ d’un travail artistique et de recherche autour d’un événement naturel étonnant, qui révèle la relation étroite qui existe entre la Nature et Culture dans les sociétés humaines. Une occasion d’explorer une partie de notre patrimoine naturel et culturel à travers l’immense corridor biologique qu’est le parcours de plus de 4 000 kilomètres effectué par le papillon monarque.
Cette sculpture est un hommage aux artisans de Metepec, créateurs originaux des « Arbres de Vie » en argile. C’est également une reconnaissance du travail admirable du programme Royal Mail-Monarch et de tous les individus et organisations qui s’efforcent de préserver les écosystèmes qui soutiennent la vie. »
Caractéristiques techniques : L’oeuvre mesure 77 centimètres de haut sur 70 de large dans la partie la plus longue. Les matériaux utilisés sont des bouteilles en plastique, du papier journal et du plâtre pour construire la structure principale. Les figurines ont été réalisées avec de la céramique froide, du cuivre pour les maintenir à la base et de la peinture acrylique.